Le bon et le mauvais influenceur…

S’il ne s’agit pas du nom du dernier sketch de l’agence, bien que cela nous soit venu à l’idée, il existe réellement deux castes bien distinctes d’influenceurs. Et quelques paramètres à prendre en compte avant de pouvoir se fier à l’un d’eux, ou le fuir à toute vitesse…

Quand nous évoquons un bon influenceur, on parle de celui qui permettra à votre marque de progresser en matière de notoriété et de ventes, rapidement et efficacement. Après s’être occupé de vérifier si l’influenceur n’était pas une arnaque (oui, ça arrive #achetetesfollowers), la première checklist à dresser, est la plus simple, la plus évidente :  

  • Indice de popularité de l’influenceur  
  • Taille de la communauté sociale  
  • Impressions par publication sociale 
  • Taux d’engagement de la communauté  
  • Audience sur les moteurs de recherche  
  • Base de données e-mail  
  • Bilan de marketing d’influences précédentes 

Ces premières vérifications permettent de savoir à qui l’on s’adresse, et la force de frappe dont dispose l’influenceur. Mais cela ne suffit pas… Un influenceur moins en vogue peut davantage correspondre à votre marque. La miss France Camille Cerf ne sera pas forcément à même de motiver sa communauté pour une campagne de jeux vidéo… Tout comme Gotaga (numéro 1 des influenceurs français #Gaming) n’ira certainement jamais faire la promotion de produits du terroir. Encore que, certains contre-pieds peuvent parfois susciter le buzz. Mais cela se réfléchit justement, et un bon influenceur sera celui dont la communauté pourrait (au moins en partie) être la vôtre.  

La confiance rien que la confiance 

Pourquoi? Parce que tout repose sur la confiance… le bon influenceur se reconnait dans sa capacité à s’associer avec des marques dont il partage les valeurs, en toute sincérité. Certains publient plusieurs vidéos par jours, pour vendre tel ou tel produit ou service, parfois sans comprendre de quoi il s’agit vraiment…  

Mais à un moment, il faut bien se dire que les consommateurs ne sont pas naïfs… Le business de l’influence est lucratif. Mais quand la sincérité s’efface pour le profit, on n’influence plus rien du tout.  

Le bon influenceur, c’est celui qui se sert de sa force de frappe pour promouvoir un produit qu’il valide. C’est aussi celui capable de refuser un partenariat avec lequel il ne serait pas en adéquation. Et c’est le secret (vraiment?) d’une bonne campagne d’influence.  

L’assurance du ROI  

Et ce choix est doublement crucial. D’abord, il serait dommage d’investir dans une campagne d’influence avec un ROI nul ou limité. Mais pire, il serait suicidaire de s’engager dans une campagne qui entacherait la notoriété de la marque. Voilà pourquoi les agences spécialisées, comme EMOSSION, réalisent en amont l’audit nécessaire avant de proposer un influenceur pour s’assurer d’un retour sur investissement rapide et conséquent. Si les réseaux sociaux sont parfois le royaume de l’instantané, il faut dans certains cas prendre son temps pour bien faire les choses.